La vague verte et souple du nageur pousse les radeaux vers l’abîme, la conscience, le roseau courbe le dos. La liberté qui unit les marcheurs au reste de la troupe polit la candeur de coquilles d’argent sur les routes, de la mer à la montagne.
Il y a une odeur de pampre qui souffle sur ce tour qui se joue sans offense, la liberté des uns admire la beauté perdue dans ce royaume où les pas des plus grands perdent les plus petits.
3 Août 2004.
Il y a une odeur de pampre qui souffle sur ce tour qui se joue sans offense, la liberté des uns admire la beauté perdue dans ce royaume où les pas des plus grands perdent les plus petits.
3 Août 2004.
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