poésie à franquevaux. II
dimanche 10 décembre 2017
Qu’il ...
Qu’il se gorge d’épices et de ciel, entende le cœur d’une sirène saigner sous la pluie, protège le vent de la première des peurs et sans trêve chasse l’infini.
19 Juillet 2004.
1 commentaire:
mémoire du silence
10 décembre 2017 à 10:27
gorge d’épice et ciel en sang
la pluie lave le vent de ses peurs d’antan
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la pluie lave le vent de ses peurs d’antan