Le souffle disperse, dans la montagne, et berce les émois. La foudre claire honore les vainqueurs, la procession affronte la sueur, déroule sa plainte. L’espoir, folie et verdeur, contemple le fruit mur qui coule des colonnes. L’oiseau chante le méandre de la vie qui court dans ce coin du monde où grandissent les nuées. La roue virevolte, la lumière se gorge de la fantaisie aux environs.
Un enfant parait et rompt le silence, sa liberté prend forme, cailloux, lancé sur le pavé.
3 Août 2004.
Un enfant parait et rompt le silence, sa liberté prend forme, cailloux, lancé sur le pavé.
3 Août 2004.
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