Les clairs et les obscurs sont une couronne d’étoile pour la postérité.
A l’abri de la peau, il rêve et contemple, il filtre au travers des cils fermés au soleil. Il est perché comme un oiseau la nuit, son cri seul le repère. Le corps interroge et fixe du silence sur sa liberté. Il chante et donne l’éternité au clin d’œil, la fermeté sonne et éclate. Dans un baiser de gourmandise, le chœur des anges frissonne, sa rumeur varie sur le toit. Certitude de chanter et dire, face à l’éternité, l’obscurité compose, elle affermit la volonté. La solitude et l’évidence de paraître donnent confiance, au monde. Les heureux sont en face, penchés sur le départ, le tri se fait avec courage, dans le scintillement de la vie recommencée. La fange et le serein se disputent, ils chantent sans attendre la direction. La peur sonne et résonne au cœur des bois, des verres polis et battus dans la mer brillent comme un simple plaisir. La chance tremble dans le soir qui vient. Des silhouettes découpent leurs traits sur la porte, la poignée résiste, les gonds grincent, celui qui ouvre transpire et se fond dans la couleur du mur qui s’effrite. Le souffle manque, la chanson du courage meurt dans un poumon ralenti et qui crache. La volonté flétrit et décline dans la pauvre jambe. Il meurt de trop d’absence ce corps, chance et savoir de toutes choses. La preuve n’est pas nécessaire, tout se tient dans la croyance. La connaissance de la pierre meurt, la grande peine, dans un éclat qui gerbe l’étincelle. Celui qui arpente son chantier définit la côte. Les réponses se succèdent dans le retour des questions. Il passe de la première volonté à la dernière certitude, il croit et il comprend, que faire, si du cœur du pays et du nord du chapitre, les questions tourbillonnent et affrontent le même coup de marteau. L’Afrique répond et le charme sans le savoir. Il encourage et recompose dans son infini la question qui plombe pour longtemps. Celui qui passe est-il présent, ou cadeau pour les petits enfants. Le trésor traîne au fond de la mare où les poissons se prélassent, la rivière des perles agrandit le regard. La présence dans cette eau de toutes ces certitudes enflamme le chercheur. Les désirs de gloire et de partage vrillent comme la flamme sur le doigt qui lance le couteau. Le corps se perd dans la sensation du certain et de ce qui se mesure, la comédie du savoir et de la création est entière dans le germe à fond de graine. Le premier et le dernier diront ce qu’il faut dire quand le temps sera venu.
La guerre du monde et de sa compréhension, se déclare à tout moment.
21 Décembre 2004.
A l’abri de la peau, il rêve et contemple, il filtre au travers des cils fermés au soleil. Il est perché comme un oiseau la nuit, son cri seul le repère. Le corps interroge et fixe du silence sur sa liberté. Il chante et donne l’éternité au clin d’œil, la fermeté sonne et éclate. Dans un baiser de gourmandise, le chœur des anges frissonne, sa rumeur varie sur le toit. Certitude de chanter et dire, face à l’éternité, l’obscurité compose, elle affermit la volonté. La solitude et l’évidence de paraître donnent confiance, au monde. Les heureux sont en face, penchés sur le départ, le tri se fait avec courage, dans le scintillement de la vie recommencée. La fange et le serein se disputent, ils chantent sans attendre la direction. La peur sonne et résonne au cœur des bois, des verres polis et battus dans la mer brillent comme un simple plaisir. La chance tremble dans le soir qui vient. Des silhouettes découpent leurs traits sur la porte, la poignée résiste, les gonds grincent, celui qui ouvre transpire et se fond dans la couleur du mur qui s’effrite. Le souffle manque, la chanson du courage meurt dans un poumon ralenti et qui crache. La volonté flétrit et décline dans la pauvre jambe. Il meurt de trop d’absence ce corps, chance et savoir de toutes choses. La preuve n’est pas nécessaire, tout se tient dans la croyance. La connaissance de la pierre meurt, la grande peine, dans un éclat qui gerbe l’étincelle. Celui qui arpente son chantier définit la côte. Les réponses se succèdent dans le retour des questions. Il passe de la première volonté à la dernière certitude, il croit et il comprend, que faire, si du cœur du pays et du nord du chapitre, les questions tourbillonnent et affrontent le même coup de marteau. L’Afrique répond et le charme sans le savoir. Il encourage et recompose dans son infini la question qui plombe pour longtemps. Celui qui passe est-il présent, ou cadeau pour les petits enfants. Le trésor traîne au fond de la mare où les poissons se prélassent, la rivière des perles agrandit le regard. La présence dans cette eau de toutes ces certitudes enflamme le chercheur. Les désirs de gloire et de partage vrillent comme la flamme sur le doigt qui lance le couteau. Le corps se perd dans la sensation du certain et de ce qui se mesure, la comédie du savoir et de la création est entière dans le germe à fond de graine. Le premier et le dernier diront ce qu’il faut dire quand le temps sera venu.
La guerre du monde et de sa compréhension, se déclare à tout moment.
21 Décembre 2004.
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