Comme une toile, comme un fichu, comme un couvert sur le ciel bleu, le même et le lointain, le parvenu tout à fait cache sous ses franges une espérance, une habitude, une redite de temps clair, une frise de serpents favorables aux plus heureux. Plus cernés que l’angoisse et plus donnés et moins reçus et parlés fort et criés loin et sous le couvert, sous l’orage, les franges pleurent sous mes yeux et la solitude.
Et le plus seul, le plus caché, le plus ténu, la différence sans nombre, le vernis sous l’expression, les rayures sur le visage, la cadence est un enfer et le pesant est en visite. Il cache sous son couvert, un enclos, une mission pour l’angoisse, un avenir de vieux trésor, une recette de physique. Il est étendu sur le sol et son pied racle la planche, il est courbé, sous le voile le ciel frémit, la peur se calme.
La silhouette, le salut, la barque au loin emporte les offrandes et pénètre sous le voile et effrange le satin blanc. Ils sont revenus et ils rament et ils affrontent le gros temps, la force vive, la clarté, le soir venu, le soir viendra. La plume sous les arbres, les oiseaux bercés sont revenus.
Sous le voile et sous la tente sous l’arbre viennent les enfants, ils se promènent et se posent et disent dans le soir une espérance, une herbe qui s’épanouit et se couvre de poudre fine, de pollen et de rayons d’or et de morceaux de la lune, fière des étoiles sous le manteau, et un plus bleu et un plus lourd.
Des comètes se détendent et glissent sur les cailloux et roulent sur la route noire et percent les yeux des plus lointains, des plus petits, des plus malins et cisèlent la coupe blanche, on boit du métal, de la rosée et des orages.
Il faut croire la liberté, il faut croire l’évasion, le retournement, la césure, l’envol bleu sur le ciel clair et la fuite vers l’orient et le retour. Sur l’écho, sur la rive, le ciel est bleu, sous le couvert, dans l’obscurité et l’ennui.
La poudre d’écume sur la peau et les ongles dans la chair blanche, l’effort et l’affrontement, le combat et les avances, ils se cherchent sous le temps clair et puis sous la toile les vagabonds et les errants, la fuite vers l’orient, la course à travers le bruit, la chasse aux éclats de fortune, la retraite et le retour et le retrait au bord des étoiles.
Ils se retirent et commencent et frottent et glissent les ongles sur le dos de la main et lissent le pied sur le sable. Un retrait, un retour, une trahison et une figure et une évidence, et une grande confusion. Le bruit est loin, le bruit est fort il se grime sous la lune, le féroce qui est muet et sans pareil.
Ils glissent sur la peau et l’huile coule entre les doigts. Le feu des morts est allumé, la retraite flambe sur l’onde, les yeux se perdent et se noient, les enfants cherchent la suite, l’histoire commence au soir et les oreilles se vident. Ils parlent sans voir clair, sans rien entendre, et désirent et griffent. Sous le voile et sous la tente, sous l’arbre viennent les enfants, ils se promènent et se posent.
26 Février 2007.
Et le plus seul, le plus caché, le plus ténu, la différence sans nombre, le vernis sous l’expression, les rayures sur le visage, la cadence est un enfer et le pesant est en visite. Il cache sous son couvert, un enclos, une mission pour l’angoisse, un avenir de vieux trésor, une recette de physique. Il est étendu sur le sol et son pied racle la planche, il est courbé, sous le voile le ciel frémit, la peur se calme.
La silhouette, le salut, la barque au loin emporte les offrandes et pénètre sous le voile et effrange le satin blanc. Ils sont revenus et ils rament et ils affrontent le gros temps, la force vive, la clarté, le soir venu, le soir viendra. La plume sous les arbres, les oiseaux bercés sont revenus.
Sous le voile et sous la tente sous l’arbre viennent les enfants, ils se promènent et se posent et disent dans le soir une espérance, une herbe qui s’épanouit et se couvre de poudre fine, de pollen et de rayons d’or et de morceaux de la lune, fière des étoiles sous le manteau, et un plus bleu et un plus lourd.
Des comètes se détendent et glissent sur les cailloux et roulent sur la route noire et percent les yeux des plus lointains, des plus petits, des plus malins et cisèlent la coupe blanche, on boit du métal, de la rosée et des orages.
Il faut croire la liberté, il faut croire l’évasion, le retournement, la césure, l’envol bleu sur le ciel clair et la fuite vers l’orient et le retour. Sur l’écho, sur la rive, le ciel est bleu, sous le couvert, dans l’obscurité et l’ennui.
La poudre d’écume sur la peau et les ongles dans la chair blanche, l’effort et l’affrontement, le combat et les avances, ils se cherchent sous le temps clair et puis sous la toile les vagabonds et les errants, la fuite vers l’orient, la course à travers le bruit, la chasse aux éclats de fortune, la retraite et le retour et le retrait au bord des étoiles.
Ils se retirent et commencent et frottent et glissent les ongles sur le dos de la main et lissent le pied sur le sable. Un retrait, un retour, une trahison et une figure et une évidence, et une grande confusion. Le bruit est loin, le bruit est fort il se grime sous la lune, le féroce qui est muet et sans pareil.
Ils glissent sur la peau et l’huile coule entre les doigts. Le feu des morts est allumé, la retraite flambe sur l’onde, les yeux se perdent et se noient, les enfants cherchent la suite, l’histoire commence au soir et les oreilles se vident. Ils parlent sans voir clair, sans rien entendre, et désirent et griffent. Sous le voile et sous la tente, sous l’arbre viennent les enfants, ils se promènent et se posent.
26 Février 2007.
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