Il voit les oiseaux et entend les insectes et sa peau est griffée et tordue et rien ne se compose et rien ne se précise et la mobilité et les erreurs croisées et refondues et l’ignorance et l’imprécision et le clair de la lune et la rondeur qui monte et la lassitude et l’étrangeté même et le charme rompu au soir pour une belle âme,
il faut citer sans précision et refermer une fois encore tous les livres, ne pas donner de mots ne pas entendre la certitude, la vérité est à l’heure, la vérité est en marche et la terreur noiera le tout et tombera sur eux et griffera aussi, après, la peau, après, les âmes, les plus petits et les plus, sans façons, sans germe pour fleurir, sans poids pour tourner sur lui-même, il est étrangement souriant et aveugle et muet et sourd et pourtant il entend les oiseaux et voit les insectes et touche sans remord la fragilité du monde qui s’abandonne et pense et fuit et défait la surprise, et charme les échos, et danse avec entrain et fatigue et plonge, et il touche aussi au vide et au précieux, au vide des orages, au vide des archanges, à la splendeur du ciel bleu et pointu, entassé sur l’heure et vernis de parfum et tourmenté d’oreilles attentives, de traductions sans suite, un mot en touche un autre, et la peur est intacte, ils sont à l’affût et danseront sur terre, et charmeront et prendront des bateaux pour traquer les plus malheureux, pourtant il faut faire et de l’amour et du plaisir, et offrir des victoires et remplir les palais de sultans assoupis d’esclaves pour l’orgueil, et de serviteurs sombres éperdus et conquis et sans renoncement.
La confusion les ramène et défait le parcours et brouille l’itinéraire et grandit les enfants qui tournent ainsi sans fin autour du trésor, la cadence est aveugle, le cercle est grandi, la confusion est inscrite dans les décombres, la solitude pèse et rend un noir souci, une lueur de bienfait acclame les prophètes, ils vont venir tourner aussi autour de ce trésor dans le grand champ comblé et rompu, d’herbe et de rayons aveugles, et d’obscurité, dans le noir il bondit et griffe sa peau nue, les livres sont ouverts et les aveugles mentent, la saveur est grande et les oublis surs, et il faut y entendre une infinie justice dans la confusion sur la peau arrachée, sur le regret contrit, sur la goutte d’angoisse, il passe un espoir, le vent peut se lever et dire le chemin, la voie est à tracer mais les outils sont là, il faut entendre encore et comprendre toujours, et filer sur le bord et lancer des cailloux et fouiller dans les flancs de la montagne, des échos de grandeur, des palmes pour l’éternité, un monde toujours avance où ils seront rois pour peu de temps, l’instant explose en silence, il fabrique l’infini pour jamais, pour toujours, sa peau est griffée un insecte dormait dans la terre noire, un rayon d’or s’est levé.
2 Mars 2007.
il faut citer sans précision et refermer une fois encore tous les livres, ne pas donner de mots ne pas entendre la certitude, la vérité est à l’heure, la vérité est en marche et la terreur noiera le tout et tombera sur eux et griffera aussi, après, la peau, après, les âmes, les plus petits et les plus, sans façons, sans germe pour fleurir, sans poids pour tourner sur lui-même, il est étrangement souriant et aveugle et muet et sourd et pourtant il entend les oiseaux et voit les insectes et touche sans remord la fragilité du monde qui s’abandonne et pense et fuit et défait la surprise, et charme les échos, et danse avec entrain et fatigue et plonge, et il touche aussi au vide et au précieux, au vide des orages, au vide des archanges, à la splendeur du ciel bleu et pointu, entassé sur l’heure et vernis de parfum et tourmenté d’oreilles attentives, de traductions sans suite, un mot en touche un autre, et la peur est intacte, ils sont à l’affût et danseront sur terre, et charmeront et prendront des bateaux pour traquer les plus malheureux, pourtant il faut faire et de l’amour et du plaisir, et offrir des victoires et remplir les palais de sultans assoupis d’esclaves pour l’orgueil, et de serviteurs sombres éperdus et conquis et sans renoncement.
La confusion les ramène et défait le parcours et brouille l’itinéraire et grandit les enfants qui tournent ainsi sans fin autour du trésor, la cadence est aveugle, le cercle est grandi, la confusion est inscrite dans les décombres, la solitude pèse et rend un noir souci, une lueur de bienfait acclame les prophètes, ils vont venir tourner aussi autour de ce trésor dans le grand champ comblé et rompu, d’herbe et de rayons aveugles, et d’obscurité, dans le noir il bondit et griffe sa peau nue, les livres sont ouverts et les aveugles mentent, la saveur est grande et les oublis surs, et il faut y entendre une infinie justice dans la confusion sur la peau arrachée, sur le regret contrit, sur la goutte d’angoisse, il passe un espoir, le vent peut se lever et dire le chemin, la voie est à tracer mais les outils sont là, il faut entendre encore et comprendre toujours, et filer sur le bord et lancer des cailloux et fouiller dans les flancs de la montagne, des échos de grandeur, des palmes pour l’éternité, un monde toujours avance où ils seront rois pour peu de temps, l’instant explose en silence, il fabrique l’infini pour jamais, pour toujours, sa peau est griffée un insecte dormait dans la terre noire, un rayon d’or s’est levé.
2 Mars 2007.
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