Et doucement et sûrement et, en attendant la venue, la fin, le début, le dire, et le faire et blanchir et franchir et ajourer et ajouter et dépendre et reprendre et tirer sur la face une envie, de plus et de joie et une envie de silence et de mourir et de revivre et de ne plus faire de choix et de contempler la lune, elle descends et touche les épaules et glisse sur la peau et tourne sur le devant.
La confiance est dans le dire et le faire, pour passer cet écueil et franchir haut la barre, une envie d’affirmer : la confiance est dans la poitrine, où l’aube des seins se lève, et une envie de chanter : la confiance est dans le genou, la force s’appuie sur le genou, le muscle est tendu et roide, il tire et tire et recommence et enfourche la vie.
Elle pousse sur ce meuble si noir, il y avait un voyage en hiver, une espérance et des parents et une fille qui devenait plus forte et plus élevée et plus sensible et plus absente.
La force est nouée à la confiance, le corps frissonne en hiver, les vieilles lunes sont transies de fraîcheur et de présence. Au bord du bassin, le marbre rose et les tourterelles fleurissent et recommencent. La musique coule, sur le dos de la main, sur la peau, sur la hanche et sur le temps. L’envie enfonce un diamant au cœur de l’inutile et recommence et voyage en hiver et chante avec les cygnes et tourne les pages du livre. L’amour et la vie, et la musique, la musique et la vie recommencent et reprennent les refrains et chantent l’éveil qui défait les cheveux et boucle la ceinture et reprend à la vie beaucoup d’ardeur. En face, à la suite, les yeux sont effrayés et le cœur se lamente.
La chanson servie, le refrain tendu en miroir tourne et se lamente, et recommence une saison d’enfer, un poids, un enthousiasme, une frénésie de dire et de faire. La chanson, la chanson, elle coule lente et sombre et recommence dans l’œil, dans le souvenir, elle fonce et défait le cœur, soulagé et perclus. En face, à la suite, les yeux sont effrayés et le cœur se lamente, pour satisfaire, donner et reprendre et se donner, et ruiner l’attente, ruiner la défaite et finir et chanter et danser et reprendre la suite. Il faut faire le tour des chansons, reprendre la belle et la suivante et le doux accord et la suite, dans l’espace, dans la grandeur.
Et doucement et sûrement et en attendant la fin, le début, le dire et le faire, et blanchir et franchir et dépendre et reprendre et se tirer sur le visage, une envie de plus, de joie et de silence, de mourir et de revivre et de ne plus choisir et contempler la lune qui descend et touche les épaules et glisse sur la peau et tourne sur le devant.
La force est nouée à la confiance, le cœur frissonne en hiver, les étoiles sont transies de froid, les tourterelles fleurissent, la musique déplace le temps, elle enfonce un diamant au cœur de l’inutile, recommence le voyage d’hiver, et tourne les pages. La musique prend au refrain, et chante l’éveil et défait des boucles, reprend un peu de vie et d’ardeur, face à la suite, les yeux sont ouverts et le cœur se reforme.
La confiance est dans le dire et le faire, pour passer cet écueil et franchir haut la barre, une envie d’affirmer : la confiance est dans la poitrine, où l’aube des seins se lève, et une envie de chanter : la confiance est dans le genou, la force s’appuie sur le genou, le muscle est tendu et roide, il tire et tire et recommence et enfourche la vie.
Elle pousse sur ce meuble si noir, il y avait un voyage en hiver, une espérance et des parents et une fille qui devenait plus forte et plus élevée et plus sensible et plus absente.
La force est nouée à la confiance, le corps frissonne en hiver, les vieilles lunes sont transies de fraîcheur et de présence. Au bord du bassin, le marbre rose et les tourterelles fleurissent et recommencent. La musique coule, sur le dos de la main, sur la peau, sur la hanche et sur le temps. L’envie enfonce un diamant au cœur de l’inutile et recommence et voyage en hiver et chante avec les cygnes et tourne les pages du livre. L’amour et la vie, et la musique, la musique et la vie recommencent et reprennent les refrains et chantent l’éveil qui défait les cheveux et boucle la ceinture et reprend à la vie beaucoup d’ardeur. En face, à la suite, les yeux sont effrayés et le cœur se lamente.
La chanson servie, le refrain tendu en miroir tourne et se lamente, et recommence une saison d’enfer, un poids, un enthousiasme, une frénésie de dire et de faire. La chanson, la chanson, elle coule lente et sombre et recommence dans l’œil, dans le souvenir, elle fonce et défait le cœur, soulagé et perclus. En face, à la suite, les yeux sont effrayés et le cœur se lamente, pour satisfaire, donner et reprendre et se donner, et ruiner l’attente, ruiner la défaite et finir et chanter et danser et reprendre la suite. Il faut faire le tour des chansons, reprendre la belle et la suivante et le doux accord et la suite, dans l’espace, dans la grandeur.
Et doucement et sûrement et en attendant la fin, le début, le dire et le faire, et blanchir et franchir et dépendre et reprendre et se tirer sur le visage, une envie de plus, de joie et de silence, de mourir et de revivre et de ne plus choisir et contempler la lune qui descend et touche les épaules et glisse sur la peau et tourne sur le devant.
La force est nouée à la confiance, le cœur frissonne en hiver, les étoiles sont transies de froid, les tourterelles fleurissent, la musique déplace le temps, elle enfonce un diamant au cœur de l’inutile, recommence le voyage d’hiver, et tourne les pages. La musique prend au refrain, et chante l’éveil et défait des boucles, reprend un peu de vie et d’ardeur, face à la suite, les yeux sont ouverts et le cœur se reforme.
2 Mars 2007.
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