Une histoire livrée à la haine, à la violence, au bourreau, au bourreau. Ils se traînent et chuchotent sur le sable, un ennui, un regard, un affront. Ils se balancent et osent des aveux inquiets, des souvenir futiles, des rires de lapin, des duretés dans l’âme, une armée en déroute, une campagne à prendre, pour partir, pour partir ailleurs. Ils évacuent le pire et domptent les étoiles et la route.
Une éclipse, une éclipse, la bouche pincée sur un défaut, ils chuintent, ils sifflent, ils cajolent, ils recomposent le présent et défendent, défendent la suite, les défauts sur la langue, poils et cheveux et bouches qui chuintent, où irez vous dormir si le silence est mort, où irez vous plonger si la lune est absente, dans l’escalier la nuit les oiseaux chuintent, les hiboux, les chouettes, un peuple parle mal et tourne sa langue et refend l’amitié d’un doigt, d’un œil, d’une estafilade sans risque, la bouche est tordue sur les défauts du jour, la lune est en éclipse, le chuintement chuinte et chante, la bouche est tordue, le regard est clos, la vie se vrille sur ces bouts de langues.
Ils tournent sur eux et soufflent sur le feu, la braise est rouge, la nuit est sans lune, le balcon est perdu, bien perdu dans le ciel, les étoiles divaguent, il a plu, il pleuvra, leur bouches sont tordues et chuintent, chuintent, chuintent, les hiboux se déplacent, la langue tordue.
Ils se déplacent et partent pour ailleurs, les oiseaux dans la nuit et on, se tord la bouche et cherche le destin au fond d’un seau, la lune est absente, les aveugles se perdent, ils partent pour ailleurs et déplacent le temps et déplacent la vie et ferment les yeux sur le ciel noir de nuit et de lune morte, partie ailleurs cachée, perdue absente, sans raison et la bouche est tordue et le regard est lourd et entre les nuages ailleurs sont les étoiles et on, est perdu, perdu sans lune ailleurs, au loin dans le regard posé au fond du seau, la lune est noyée dans le fond de la bouche, les lèvres sont tordues et les mots chuintent, chuintent et le vif est rendu au plus haut, au plus loin. La vie est conquérante et sans mesure, où est le cœur tordu sous cette bouche, les mots chuintent et la langue prend la place du monde, le cœur enrubanné et les yeux tournent, tournent, la lune est en voyage et va vers les aveux, les ennuis, les reproches, pourquoi du défaut, pourquoi de la fantaisie, la bouche se tord même sur chaque mot, accroche et rend un son pitoyable.
Le regard est tenté, au fond, au fond du seau perdu, au fond du seau noyé, il n’y a plus rien, ni lune, ni testament, et le cœur est sans aise et le cœur est perdu, la bouche est tordue sur chaque mot qui passe, sur l’étroit sentier du bonheur et du temps, ils se réchaufferont les agités de l’âme, les lecteurs de fond du seau, les noyés sans la lune.
On, va partir ailleurs, une histoire est livrée à la haine, à la violence, au bourreau, au bourreau, ils se traînent et chuchotent sur le sable, un ennui, un regard, un affront ils se balancent et posent en chandelle des aveux inquiets, des souvenir futiles, des rires de lapin, des duretés dans l’âme, une armée en déroute, une campagne à prendre, pour partir, pour partir ailleurs, ils évacuent le pire et domptent sans trembler les étoiles et la route. La lune est perdue, le seau est vide, vide, la bouche est tordue, et les mots chuintent, chuintent.
20 Février 2008.
Une éclipse, une éclipse, la bouche pincée sur un défaut, ils chuintent, ils sifflent, ils cajolent, ils recomposent le présent et défendent, défendent la suite, les défauts sur la langue, poils et cheveux et bouches qui chuintent, où irez vous dormir si le silence est mort, où irez vous plonger si la lune est absente, dans l’escalier la nuit les oiseaux chuintent, les hiboux, les chouettes, un peuple parle mal et tourne sa langue et refend l’amitié d’un doigt, d’un œil, d’une estafilade sans risque, la bouche est tordue sur les défauts du jour, la lune est en éclipse, le chuintement chuinte et chante, la bouche est tordue, le regard est clos, la vie se vrille sur ces bouts de langues.
Ils tournent sur eux et soufflent sur le feu, la braise est rouge, la nuit est sans lune, le balcon est perdu, bien perdu dans le ciel, les étoiles divaguent, il a plu, il pleuvra, leur bouches sont tordues et chuintent, chuintent, chuintent, les hiboux se déplacent, la langue tordue.
Ils se déplacent et partent pour ailleurs, les oiseaux dans la nuit et on, se tord la bouche et cherche le destin au fond d’un seau, la lune est absente, les aveugles se perdent, ils partent pour ailleurs et déplacent le temps et déplacent la vie et ferment les yeux sur le ciel noir de nuit et de lune morte, partie ailleurs cachée, perdue absente, sans raison et la bouche est tordue et le regard est lourd et entre les nuages ailleurs sont les étoiles et on, est perdu, perdu sans lune ailleurs, au loin dans le regard posé au fond du seau, la lune est noyée dans le fond de la bouche, les lèvres sont tordues et les mots chuintent, chuintent et le vif est rendu au plus haut, au plus loin. La vie est conquérante et sans mesure, où est le cœur tordu sous cette bouche, les mots chuintent et la langue prend la place du monde, le cœur enrubanné et les yeux tournent, tournent, la lune est en voyage et va vers les aveux, les ennuis, les reproches, pourquoi du défaut, pourquoi de la fantaisie, la bouche se tord même sur chaque mot, accroche et rend un son pitoyable.
Le regard est tenté, au fond, au fond du seau perdu, au fond du seau noyé, il n’y a plus rien, ni lune, ni testament, et le cœur est sans aise et le cœur est perdu, la bouche est tordue sur chaque mot qui passe, sur l’étroit sentier du bonheur et du temps, ils se réchaufferont les agités de l’âme, les lecteurs de fond du seau, les noyés sans la lune.
On, va partir ailleurs, une histoire est livrée à la haine, à la violence, au bourreau, au bourreau, ils se traînent et chuchotent sur le sable, un ennui, un regard, un affront ils se balancent et posent en chandelle des aveux inquiets, des souvenir futiles, des rires de lapin, des duretés dans l’âme, une armée en déroute, une campagne à prendre, pour partir, pour partir ailleurs, ils évacuent le pire et domptent sans trembler les étoiles et la route. La lune est perdue, le seau est vide, vide, la bouche est tordue, et les mots chuintent, chuintent.
20 Février 2008.
Une histoire, une armée, le pire est sur la route. Le silence est présent, la lune est morte. La nuit les oiseaux parlent d’amitié. La vie pénètre l’obscurité et tire la langue aux ténèbres.
RépondreSupprimerLe feu crépite, rouge sur la cendre. Le ciel se noie dans un fleuve d’étoiles. Bruissement d’ailes, oiseaux de nuit en chasse. Ils vont, ils viennent, ils cherchent la pluie dans le ciel noir.
La vie est une guerrière, une boxeuse audacieuse. Son cœur en bandoulière elle remonte la grève. La nuit serre les poings, sa bouche est une blessure. Elle pleure la lune morte.
Les yeux au fond du puits regardent le grand vide, ils écoutent le silence du ciel, nuit maudite, nuit misère, cœurs blessés, cœurs damnés. La bouche du bonheur a du mal à s’ouvrir, elle serre les dents, incapable de sourire. Les âmes sont grises et assises sur la margelle du puits.
Histoire de haine et de violence, de guerres éternelles, d’ennui et d’ennemis, de chandelles qui chancellent et qui n’éclairent rien. « Il n’y a plus rien ».