Ne désespère pas Poète, ne rompt pas ta plume, ne déchire pas ton papier. Le monde a besoin de toi, de ton encre sensible qui coule de tes doigts, de ce sang dans tes veines qui panse le monde, de tes accouchements et tes délivrances, de tes mots débauchés, de tes fenêtres ouvertes sur la mer vivante, de tes livres sans lecteurs, de tes livres dévorés, tous ne seront pas brûlés, oubliés, promis à la pourriture. Entends-tu Poète les maux de cette mer écrite, toutes ces souffrances qui parlent en toi et sans toi, bientôt tout se diluera dans ses vagues d’encre, bientôt tout se réveillera, et ce sera toi Poète tes mots écrits…
Chère Maria Dolores, je reste fidèlement votre, je laisse votre dernier commentaire en commentaire, et je me laisse être fidèle et ému, de grand cœur, Michel.
Ne désespère pas Poète, ne rompt pas ta plume, ne déchire pas ton papier. Le monde a besoin de toi, de ton encre sensible qui coule de tes doigts, de ce sang dans tes veines qui panse le monde, de tes accouchements et tes délivrances, de tes mots débauchés, de tes fenêtres ouvertes sur la mer vivante, de tes livres sans lecteurs, de tes livres dévorés, tous ne seront pas brûlés, oubliés, promis à la pourriture. Entends-tu Poète les maux de cette mer écrite, toutes ces souffrances qui parlent en toi et sans toi, bientôt tout se diluera dans ses vagues d’encre, bientôt tout se réveillera, et ce sera toi Poète tes mots écrits…
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