Heureux pays visité par les anges, frapper la main pour rendre hommage.
Il est en ce beau jour, une terre, un chemin, une place, qui dansent entre le soleil et le choc des années, la confiance est une grande joie, elle couche sur le sable les balanciers d’amour qu’un corail reconnaît. La vérité penchée, les barrières défilent dans l’ombre et lancent loin un homme en blanc qui passe du remous à la fureur.
Un regard au ciel enfante la peur et dessèche les flots. L’accord est en disgrâce et le tenant au jour est confondu, le redoutable mène sa trace. A l’écoute du ciel, la vie est ramassée dans un effort constant et une grande liberté, le crochet tourmente la chose et l’audace finit dans un saut sur les planches rouges du sang des autres.
Un reste de cruauté tangue et grille la volupté, les hanches heureuses démontent un visage de sueur salée. L’envol, compté sur les doigts de la main et du pied, pousse sur la barre et fréquente sans y croire les anges et les berceaux. Un bouquet de fleurs fraîches marque l’abîme, un espoir contenu dans la main.
Les sauteurs se compriment et font entendre loin leur souffle rauque. La chaleur fixée sur la pierre, fait éclater l’œil du voyant. La création en demande et en retour se perd dans la main des vivants. Il faut se faire entendre et fournir du repos et du rêve aux enfants assoiffés qui dorment dans le jour pour fuir la chaleur.
Le poids du silence dure, si pauvre de baisers et de frissons. Les endormis se taisent et fixent dans leur cœur la promesse étrange de revenir pour voir la vérité se détacher du sol et vivre l’habitude du respect et du don, du bien et du repos. Les histoires de gerbe et de fruits commandent d’en haut, les hommes sont rivaux.
Est-il plus grand, plus beau, renaît-il toujours. Le plus petit de tous se dirige vers la planche, il boit d’un trait une coupe de l’air, sur sa bouche ravie, une image d’amour et un miracle. Il est une raison d’absence et de pardon qui heureusement défait le partage et garnit le tableau, la course à vide, d’un trait il est rayé sur le champ.
Dans le rire et la joie des heureux se lancent et font vibrer sur leur peau le tambour de la force et la souplesse, articulations tordues dans le travail. L’effort dépasse le néant et finit dans un cri, la marche vers ailleurs. La barricade rouge brisée sous le poids de la bête noire qui court et rattrape le fiancé, les diables volent en blanc.
Eux, les anges sont noirs, diminués et meurtris ils sont le salut, l’exemple et le recours, ils font sur cette terre, la leçon à tous ceux qui oublient. Il faut travailler où le destin nous pose et faire ce qu’il faut.
20 Juillet 2005.
Il est en ce beau jour, une terre, un chemin, une place, qui dansent entre le soleil et le choc des années, la confiance est une grande joie, elle couche sur le sable les balanciers d’amour qu’un corail reconnaît. La vérité penchée, les barrières défilent dans l’ombre et lancent loin un homme en blanc qui passe du remous à la fureur.
Un regard au ciel enfante la peur et dessèche les flots. L’accord est en disgrâce et le tenant au jour est confondu, le redoutable mène sa trace. A l’écoute du ciel, la vie est ramassée dans un effort constant et une grande liberté, le crochet tourmente la chose et l’audace finit dans un saut sur les planches rouges du sang des autres.
Un reste de cruauté tangue et grille la volupté, les hanches heureuses démontent un visage de sueur salée. L’envol, compté sur les doigts de la main et du pied, pousse sur la barre et fréquente sans y croire les anges et les berceaux. Un bouquet de fleurs fraîches marque l’abîme, un espoir contenu dans la main.
Les sauteurs se compriment et font entendre loin leur souffle rauque. La chaleur fixée sur la pierre, fait éclater l’œil du voyant. La création en demande et en retour se perd dans la main des vivants. Il faut se faire entendre et fournir du repos et du rêve aux enfants assoiffés qui dorment dans le jour pour fuir la chaleur.
Le poids du silence dure, si pauvre de baisers et de frissons. Les endormis se taisent et fixent dans leur cœur la promesse étrange de revenir pour voir la vérité se détacher du sol et vivre l’habitude du respect et du don, du bien et du repos. Les histoires de gerbe et de fruits commandent d’en haut, les hommes sont rivaux.
Est-il plus grand, plus beau, renaît-il toujours. Le plus petit de tous se dirige vers la planche, il boit d’un trait une coupe de l’air, sur sa bouche ravie, une image d’amour et un miracle. Il est une raison d’absence et de pardon qui heureusement défait le partage et garnit le tableau, la course à vide, d’un trait il est rayé sur le champ.
Dans le rire et la joie des heureux se lancent et font vibrer sur leur peau le tambour de la force et la souplesse, articulations tordues dans le travail. L’effort dépasse le néant et finit dans un cri, la marche vers ailleurs. La barricade rouge brisée sous le poids de la bête noire qui court et rattrape le fiancé, les diables volent en blanc.
Eux, les anges sont noirs, diminués et meurtris ils sont le salut, l’exemple et le recours, ils font sur cette terre, la leçon à tous ceux qui oublient. Il faut travailler où le destin nous pose et faire ce qu’il faut.
20 Juillet 2005.
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