Cette chose danse dans le courant, rentre avec le sens, l'histoire, l’aveu, la reconnaissance, comme un espoir infini, une porte vers la lune et l'ouragan. Le désir en route surprend, lance vers demain une couleur, résistance et pardon. L'odeur de la tempête couvre l'harmonie, fierté. Une source dans ce domaine étrange et palpitant, l'histoire est toujours à reprendre, les erreurs et le lierre sur la façade et froissent les figures de parfums et de volonté.
Il y a une évidence, un paradis, qui flambent au sol et forcent le pardon, les fleurs sous le soleil se penchent, le chien creuse dans le jardin un terrier pour cueillir des enfants qui ne viendront plus. Le trou est à combler, sans cesse, finir est impossible, l'attente déchante l'été. Le souvenir et le cœur, respirent toujours et lancent les mots dans l'univers, le mal à dire et le faire, sans loi sur le socle de l'espérance, il faut dire :
I
Il y a une évidence, un paradis, qui flambent au sol et forcent le pardon, les fleurs sous le soleil se penchent, le chien creuse dans le jardin un terrier pour cueillir des enfants qui ne viendront plus. Le trou est à combler, sans cesse, finir est impossible, l'attente déchante l'été. Le souvenir et le cœur, respirent toujours et lancent les mots dans l'univers, le mal à dire et le faire, sans loi sur le socle de l'espérance, il faut dire :
« la vie avance et se renouvelle dans le jour »,
identique, ses effets se rassemblent et définissent, sans raison, des lois pour remplir l'espace et attendre la suite.
Le navigateur penché sur le flot, son rire sombre affirme sa vengeance, il faut de la lenteur et du soupir, l'effort renouvelle et fleurit le mur, l'escalade, la voie se décide sur le remous sans fin où flotte la raison. Les gardiens, rejettent la pierre martelée à l'envi dans un atelier de misère, la difficulté défigure le rêve, attend dans l'ombre le retour des amandiers.
Les enfants au jet d'eau, sous la gerbe, les animaux ont fuit, gavés de paille sèche, le sable vole sous le pas, pied noirci d'un poids d'impuissance, le regard meurt à d'autres désirs.
Les jeunes hommes fuient les tâches ardentes, le calme viendra des fiancées la nuit, un charme particulier frise et fait trembler d'orgueil les anciens sur la place. Le vide définit et force le frisson, la descente vers l'ombre assèche la sueur et glace le destin, le vent épanouit.
Le petit et le grand descendent la colline, ils choisissent un œil de verdure où blottir leur sincérité.
13 Juillet 2005 .
identique, ses effets se rassemblent et définissent, sans raison, des lois pour remplir l'espace et attendre la suite.
II
Le navigateur penché sur le flot, son rire sombre affirme sa vengeance, il faut de la lenteur et du soupir, l'effort renouvelle et fleurit le mur, l'escalade, la voie se décide sur le remous sans fin où flotte la raison. Les gardiens, rejettent la pierre martelée à l'envi dans un atelier de misère, la difficulté défigure le rêve, attend dans l'ombre le retour des amandiers.
Les enfants au jet d'eau, sous la gerbe, les animaux ont fuit, gavés de paille sèche, le sable vole sous le pas, pied noirci d'un poids d'impuissance, le regard meurt à d'autres désirs.
Les jeunes hommes fuient les tâches ardentes, le calme viendra des fiancées la nuit, un charme particulier frise et fait trembler d'orgueil les anciens sur la place. Le vide définit et force le frisson, la descente vers l'ombre assèche la sueur et glace le destin, le vent épanouit.
Le petit et le grand descendent la colline, ils choisissent un œil de verdure où blottir leur sincérité.
13 Juillet 2005 .
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire