Ô,
retiens-la au jardin. Les tâches sont chères, donne à des enfants, ils demandent la nuit. Quels hommes éveillés, quelles passions de disparus, quelles femmes là-bas. Aime les fleurs, une saison, aime un être innombrable, en tes bras monte une jeune sève. Une enfant entre les pères, au fond.
Tu appelais ce paysage, jeune fille, sous le ciel clair.
7 Mai 2006.
retiens-la au jardin. Les tâches sont chères, donne à des enfants, ils demandent la nuit. Quels hommes éveillés, quelles passions de disparus, quelles femmes là-bas. Aime les fleurs, une saison, aime un être innombrable, en tes bras monte une jeune sève. Une enfant entre les pères, au fond.
Tu appelais ce paysage, jeune fille, sous le ciel clair.
7 Mai 2006.
Dans le jardin. Pointillisme. Les enfants de la nuit s’embrassent debout. Homme libre, passion du condamné, femme affranchie. Fleurs d’azur, intervalle, amour insoupçonné, la vie dans les veines. Un enfant va naître.
RépondreSupprimerLe paysage est volage, « comme une fille qu'a les yeux qui brillent ».