Sa bonté et sa faiblesse mêlées aux regards défendent une dent de lait et d’ivoire, peut il griffer la raideur sur les cailloux du port ?
Il est lourd, de souffrance et de nostalgie, elles volent. L’homme noir se donne en otage aux affameurs de bord de mer et de gouffres, aux errants de la lune. Dressé sur la pointe du pied, il murmure une histoire après l’autre. L’eau est à l’entour et il suit son berceau de plumes sur le sable et les algues.
Tout flotte et commence après la neige et le vent, les oiseaux brassent un air joyeux couvert de nuages et de soupçons d’éclairs. Les vagues se rebattent, le sable est en chantier et le froid perce la toile.
9 Février 2006.
Il est lourd, de souffrance et de nostalgie, elles volent. L’homme noir se donne en otage aux affameurs de bord de mer et de gouffres, aux errants de la lune. Dressé sur la pointe du pied, il murmure une histoire après l’autre. L’eau est à l’entour et il suit son berceau de plumes sur le sable et les algues.
Tout flotte et commence après la neige et le vent, les oiseaux brassent un air joyeux couvert de nuages et de soupçons d’éclairs. Les vagues se rebattent, le sable est en chantier et le froid perce la toile.
9 Février 2006.
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