La chaleur apaise et fait croire au possible, la vie est en marche et le but est lointain, la mort en ce moment recule, l’ombre se joue de la lumière et ferme les yeux et les oreilles, la réconciliation est une victoire. La joie franchit le pont et remplit un sac d’habitudes.
Il chante, le cœur effarouché par la nuit, la mémoire est saisie du rouge du sang raclé sous la peau. Les astres sont couchés, ils visent les nuages, sous le temps, ils passent. Sur la couche ils gisaient comme des enfants et des rois, enfermés dans une main, ils rayonnent plus loin. La tête est levée, la pose est à l’inverse, le petit, le tremblant, l’humilié est en haut, il voit le cortège sous les arbres. Les corps ont scintillé et rendu leur secret, les vagues de bonheur franchissent la fermeture, ils ont donné et du sang et du jour, de la vie et du temps.
Le sacrifice a rempli la mesure, le poids d’un peu de farine est un gage de fermeté. La liberté du jour les caresse, les membres tordus dans l’enfer ont quittés la raideur et rendus du plaisir. La joie a tout instant est couverte de gravité, les cailloux s’accumulent, le poids d’un peu de farine est un gage, la vie est prise entre les reins et la poitrine.
Les enfants de ce paradis dorment les poings fermés, le sable encombrait les yeux, dans les voiles du soir. Ils cèdent leur taille au passage du temps, ils se rendent et dans un vrai merci comptent les coups donnés et reçus sur la peau et les bras, les genoux ployés. L’espoir va effacer les traces, corps battus sur le sac et la rive de l’éternité.
Sous le ciel, le regard est en haut, le cœur soupire au plus bas, la confiance est sur le pas de la porte, qu’elle s’ouvre toujours au poids du renouveau, son poids de farine a éclaté sur les branches et le carreau du jour. La solitude est en partie remise, ils sont bien étonnés, les rêveurs de salut et d’ardeur profonde. Un coup du sort, un coup de dé et d’osier flexible, les enlacés sont souples sur la couche du haut et suivent sans peur la courbe de l’espace.
Il est en haut, et en bas se relance le tic et le tac du temps défendu. La brise sèche la toile, le navire est à flot, il descend vers la joie et quitte les ramures, les arbres à volonté glissent sous les branches des buissons de chaleur et des branches de vie, les fleurs en ce temps là se dressent sans effort. Les vagues sont tendus et ouvrent le cercle pour la gloire et fondent sous la main, les émus sont entiers dans le cœur du délice, dans l’espoir et la chance, dans la ceinture rouge.
Le froid, l’amertume, volent sous le tropique, le chaud est revenu et les puissants se donnent de la justice, la liberté est nue et danse sous le vent, il faut lever les doutes et rendre au jour plein la musique du ciel.
Sur une branche, les yeux ont vu les étoiles déposer de la nuit et rompre l’obscurité, il est en ce royaume un point de clarté vive, un point de lumière vert et bleu qui se donne pour toujours.
Le sacrifice est clos, le poids de farine a renversé le sort et décuplé le temps, les enfants de toujours sont rendus aux folies de leur age, leurs actes sont lavés, le silence enfin est une réponse sage aux cris de la lumière. Le temps est en avance, la voûte de ciel bleu est remplie d’espérance. La lumière ferme leurs yeux et leurs oreilles, la réconciliation est une victoire.
18 Février 2006.
Il chante, le cœur effarouché par la nuit, la mémoire est saisie du rouge du sang raclé sous la peau. Les astres sont couchés, ils visent les nuages, sous le temps, ils passent. Sur la couche ils gisaient comme des enfants et des rois, enfermés dans une main, ils rayonnent plus loin. La tête est levée, la pose est à l’inverse, le petit, le tremblant, l’humilié est en haut, il voit le cortège sous les arbres. Les corps ont scintillé et rendu leur secret, les vagues de bonheur franchissent la fermeture, ils ont donné et du sang et du jour, de la vie et du temps.
Le sacrifice a rempli la mesure, le poids d’un peu de farine est un gage de fermeté. La liberté du jour les caresse, les membres tordus dans l’enfer ont quittés la raideur et rendus du plaisir. La joie a tout instant est couverte de gravité, les cailloux s’accumulent, le poids d’un peu de farine est un gage, la vie est prise entre les reins et la poitrine.
Les enfants de ce paradis dorment les poings fermés, le sable encombrait les yeux, dans les voiles du soir. Ils cèdent leur taille au passage du temps, ils se rendent et dans un vrai merci comptent les coups donnés et reçus sur la peau et les bras, les genoux ployés. L’espoir va effacer les traces, corps battus sur le sac et la rive de l’éternité.
Sous le ciel, le regard est en haut, le cœur soupire au plus bas, la confiance est sur le pas de la porte, qu’elle s’ouvre toujours au poids du renouveau, son poids de farine a éclaté sur les branches et le carreau du jour. La solitude est en partie remise, ils sont bien étonnés, les rêveurs de salut et d’ardeur profonde. Un coup du sort, un coup de dé et d’osier flexible, les enlacés sont souples sur la couche du haut et suivent sans peur la courbe de l’espace.
Il est en haut, et en bas se relance le tic et le tac du temps défendu. La brise sèche la toile, le navire est à flot, il descend vers la joie et quitte les ramures, les arbres à volonté glissent sous les branches des buissons de chaleur et des branches de vie, les fleurs en ce temps là se dressent sans effort. Les vagues sont tendus et ouvrent le cercle pour la gloire et fondent sous la main, les émus sont entiers dans le cœur du délice, dans l’espoir et la chance, dans la ceinture rouge.
Le froid, l’amertume, volent sous le tropique, le chaud est revenu et les puissants se donnent de la justice, la liberté est nue et danse sous le vent, il faut lever les doutes et rendre au jour plein la musique du ciel.
Sur une branche, les yeux ont vu les étoiles déposer de la nuit et rompre l’obscurité, il est en ce royaume un point de clarté vive, un point de lumière vert et bleu qui se donne pour toujours.
Le sacrifice est clos, le poids de farine a renversé le sort et décuplé le temps, les enfants de toujours sont rendus aux folies de leur age, leurs actes sont lavés, le silence enfin est une réponse sage aux cris de la lumière. Le temps est en avance, la voûte de ciel bleu est remplie d’espérance. La lumière ferme leurs yeux et leurs oreilles, la réconciliation est une victoire.
18 Février 2006.
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