La ferveur est à la limite de toute chose, les eaux saumâtres évaporent et cristallisent peu à peu. Une lueur roule sur les vagues, l’air les agite.
Les cheveux frisent sur la nuque et les tempes de ces riches de leur beauté, rois d’un royaume de chair et supplice. La chaleur de rencontres si vivantes, signe d’un frisson et trois éclats, colle dans le cheveu, va et vient, vole vers l’avenir, loin de la douleur du partage.
Un jour de fin d’hiver l’été chante dans le cœur.
23 Février 2004.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire