Que l’on cueille un brin d’herbe, et le soleil sourira dans l’ombre qui l’enferme. Le choix, un arrêt, une escapade, un tambour funeste, une feinte qui se venge, un trésor qui chante avec les anges au paradis, finissent un Dimanche en chandelles sous le pont.
Le service clos, il faut rendre son salut au bienfaiteur, ouvrir la porte au plus jeune des enfants, qui le long de cet ouvrage fait ses dents sur un serpent. Cette chimère ouvre grands les bras, une rumeur, un frimas et un remord se penchent sur l’inconnu.
Parfums que mâche le vent lourd de la passion, du désir et de l’ennui, du funèbre et du poli.
23 Février 2004.
Parfums que mâche le vent lourd de la passion, du désir et de l’ennui, du funèbre et du poli.
23 Février 2004.
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