Avant de laisser, on se lève, on cherche une fois, une fois encore, un élan pour la route, et une fleur dans les eaux claires.
Ils se rencontrent, ils se chantent, ils éternisent, on joue, on rit, on boit, on se console, étendus, loin du mal, dans la torpeur, une marche encore une.
Dans l’escalier, des pieds tendus, des jours heureux et trop de temps passé, il faut, il faut apprendre, il faut tourner dans l’escalier, au chant perdu, au ton si triste, avant de tout quitter, essayer et oser.
Sur la peur, sur le doute, porter un voile et tout cacher et se reprendre et commencer encore un peu, en avant.
Il faut être et toujours, dans l’escalier accroché et rampant, une marche toujours, puis l’autre.
06 Mars 2012.
Ils se rencontrent, ils se chantent, ils éternisent, on joue, on rit, on boit, on se console, étendus, loin du mal, dans la torpeur, une marche encore une.
Dans l’escalier, des pieds tendus, des jours heureux et trop de temps passé, il faut, il faut apprendre, il faut tourner dans l’escalier, au chant perdu, au ton si triste, avant de tout quitter, essayer et oser.
Sur la peur, sur le doute, porter un voile et tout cacher et se reprendre et commencer encore un peu, en avant.
Il faut être et toujours, dans l’escalier accroché et rampant, une marche toujours, puis l’autre.
06 Mars 2012.
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