Pour déranger ce monde,
agité par deux vents contraires,
et la fureur chinoise:
et la douceur catalane:
http://www.youtube.com/watch?v=Qk6nh6_0Ltg
(vidéo perdue)
angevin, on devrait tout murmurer,
et filer ce son, oh oui : l’art est puéril.
A voix basse, François et Martine : l’accolade.
12 Octobre 2011.
Sans titre.
De malheur, du malheur, encore heureux,
comme l’histoire de Rose Mousseron, Rose Mousseron,
on se prend, on dit, on entend et on ferme les yeux, paupières battues,
cheval fourbu, effondré sous la pluie, Monsieur Madeleine relève la charrette,
oh, Rose Mousseron, Fantine, Eponine et Gavroche, oublié le Frédéri, un cœur,
un cœur si lourd vole et bat au loin, et on prend, colombe : à Dieu, au Diable, battus.
15 Octobre 2011.
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