En
jour, en nuit il est en morceaux, petit, perdu au loin il tire et
brasse un à une le premier, la dernière, la force brute, le pied levé,
il étrangle le rire, la marche, les affaires, un doigt au palais, un
doigt sur l’anse au panier, il tire et il étrangle.
Un
foulard, une armure, le gant levé, le titre dévoilé, la peur, la
raison, du calme, il en finit, avec l’indécision, le calme venu, la vie
errante, la liberté.
Un
cri, une joie ardente, la liberté, la liberté, retenus les doigts
sensibles, la peau frissonne, il se déploie, il commence, il déverse des
fleurs à plein bras, en paniers, des tombées de couleur et des épines,
des roses, des épines, des roses sur la croix.
Un clair tamis parle pour toi et décide, les épines, les roses sur la croix, les chansons, le haut en bas, la décision.
Il
se retourne, il se détend, il achemine ses phrases, ses fleurs, ses
décisions et le tamis parle à sa place, le clair évident le retient, il
se fournit, il se dispense bien tendu, bien employé au devant, si tôt
bercé, si bien rendu, si bien à la source, à la retenue, le bras armé
flambe terrible, il se délecte, il détruit, il avance.
Jean a dit…
J'aime beaucoup les lignes , le rythme , les couleurs de la 3 ème .
Mouvement , élan , énergie ...
05 décembre 2012 à 14:42.
J... a dit…
C'est très joli ce déploiement
♥♥♥
09 décembre 2012 à 14:31.
Anonyme a dit…
muy bueno muy fuerte me encanta
besotes
tilk
09 décembre 2012 à 23:36.
Patrick Lucas a dit…
j'aime
et le rouge me séduit
10 décembre 2012 à 00:24.
Avec Maria Dolores Cano, ici et là.
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