A la fin, il se tourne, et pince et chante et tord et coupe. Il avance par là et chauffe les racines, il comble le silence et défait et pousse, et enjambe les bosses et les creux. Il est en retrait et il figure les martyrs. La confiance, la confiance, à l’aube, au point nommé, au creux du blé et du ciel noir. Il flotte sur les eaux et charme les aveugles, il est posé sur lui et siffle sur les champs, il avance, il avance et refait un signe, il avance, il avance à travers le temps et les saisons.
Les premiers, les derniers et tous les inutiles, ils se faufilent et trouent les feuilles des oiseaux, ils égrènent et passent et frottent au cœur un orient, une clarté sans nom, une effusion incroyable, une sainteté pour l’aurore. Il est seul et figure sur le sol une passion pour les carêmes, une aspiration pour les anges, une contrition, en rupture sur les habitudes. Il passe et ordonne des retrouvailles, des effets, des cadeaux au ciel et aux corbeaux. Les oiseaux passent, le ciel est troué et se déploie, que faire sans la liberté et que dire sur les croyances.
Il est un mélange de ciel et d’eau et de poudre, de raideur et de volupté et de frissons sur la peau mûre. Il avance vers le plus haut, à travers temps, à travers champ, à travers les ondulations et les crépitements du feu, et du ciel bas, qui traîne dans son rêve et sa fantaisie, il est comme du bout du doigt, comme de la passion en branche, du satisfait et du précis et de l’ardeur, du calme plat sur le ciel noir, si noir pour les heures à vivre.
Il est fourbu et sans raison et sans pensées et sans problèmes, seules les images remontent et défigurent la chanson. Le vent souffle sur la peau nue, les yeux sont pleins d’amertume et de croyance, sans ratures, sans efforts, sans rien à dire, sans rien y faire et sans partage. Il est seul et déploie les bras sous le ciel noir, si noir, de peurs et d’inquiétudes et de rancœurs et de frissons, la peau est dure sous le charme, sous la couverture, sous l’œil fermé et embué et meurtri.
Il est à travers le temps et compose des gerbes, seul, des couronnes, des brassées de chansons tristes ou gaies, pour tous les jours et pour les heures qui filent et croissent dans l’air parfumé, une impossible confiance. Il est porté dans l’air du jour, dans le silence et dans la peur et ne donne rien pour les autres. Il est seul et invite les orages à trouer les nuages, les biens, les phrases, les retours. Il tourne sur le champ séché, il effleure la vérité, il caresse le temps qui passe et reste seul sous sa couronne, et le vent passe et parle et offre la liberté âpre, la vérité nue, sans poids et sans attaches. Il est posé sur le toit du monde, le ciel glisse entre ses doigts et il tranche ses habitudes.
18 Juillet 2007.
Les premiers, les derniers et tous les inutiles, ils se faufilent et trouent les feuilles des oiseaux, ils égrènent et passent et frottent au cœur un orient, une clarté sans nom, une effusion incroyable, une sainteté pour l’aurore. Il est seul et figure sur le sol une passion pour les carêmes, une aspiration pour les anges, une contrition, en rupture sur les habitudes. Il passe et ordonne des retrouvailles, des effets, des cadeaux au ciel et aux corbeaux. Les oiseaux passent, le ciel est troué et se déploie, que faire sans la liberté et que dire sur les croyances.
Il est un mélange de ciel et d’eau et de poudre, de raideur et de volupté et de frissons sur la peau mûre. Il avance vers le plus haut, à travers temps, à travers champ, à travers les ondulations et les crépitements du feu, et du ciel bas, qui traîne dans son rêve et sa fantaisie, il est comme du bout du doigt, comme de la passion en branche, du satisfait et du précis et de l’ardeur, du calme plat sur le ciel noir, si noir pour les heures à vivre.
Il est fourbu et sans raison et sans pensées et sans problèmes, seules les images remontent et défigurent la chanson. Le vent souffle sur la peau nue, les yeux sont pleins d’amertume et de croyance, sans ratures, sans efforts, sans rien à dire, sans rien y faire et sans partage. Il est seul et déploie les bras sous le ciel noir, si noir, de peurs et d’inquiétudes et de rancœurs et de frissons, la peau est dure sous le charme, sous la couverture, sous l’œil fermé et embué et meurtri.
Il est à travers le temps et compose des gerbes, seul, des couronnes, des brassées de chansons tristes ou gaies, pour tous les jours et pour les heures qui filent et croissent dans l’air parfumé, une impossible confiance. Il est porté dans l’air du jour, dans le silence et dans la peur et ne donne rien pour les autres. Il est seul et invite les orages à trouer les nuages, les biens, les phrases, les retours. Il tourne sur le champ séché, il effleure la vérité, il caresse le temps qui passe et reste seul sous sa couronne, et le vent passe et parle et offre la liberté âpre, la vérité nue, sans poids et sans attaches. Il est posé sur le toit du monde, le ciel glisse entre ses doigts et il tranche ses habitudes.
18 Juillet 2007.
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