L’eau a coulé sur la peau, les choses simples, la peau, le désir et le ciel bleu, tout bleu, si bleu, et la peau chaude et fraîche et d’une jeunesse éternelle et complète et forte et bienveillante, et parfaite, pour les contraintes, pour l’effleurement. Il avance son doigt et sort de l’ombre et glisse sur la peau et glisse, glisse, et un miracle, le désir est une jeunesse éternelle. Le registre est ouvert des choses simples et attirantes, le ciel est bleu, si bleu, tout bleu et là, cesse la réflexion.
Ils sont en nage et effleurent d’un doigt la peau et là, cesse l’intelligence, ils sont animaux et sincères et bien perdus et bien plus forts, les hommes sont perdus, les caresses affolent, les animaux hurlent et grognent et défigurent leurs visages, et tombent les catastrophes, l’air perdu, les visions, les songes et les illusions. Ils sont perdus de peau et de fraîcheur et de rose au bout du doigt.
Ils se portent des coups de griffe et de cailloux, les pierres volent et les complices se sacrifient. Un peu de bois et de silence, une prière au jardin et coule, coule l’eau sur la peau et le visage et chante la main blanche trop serrée au poignet. Ils sont aveugles et en partance, répandus sur le gravier et grand et forts, et gravement ils se redressent et chantent une prière lente, et sans baptême se griffent d’eau et de fureur.
Ils sont enfants du monde, du plus grand et du plus chargé des pères et des rois, ils remplissent un tombeau de couronnes, et d’arc et de flèches leur carquois. Ils grimpent vers le lieu du monde ou ils chanteront à genou et deux par deux feront offrande de raideur et de force. Sur tout, sur encore plus de visage, une gifle de volupté, ils se mélangent et recommencent et enchantent leurs libertés, ils offrent des paroles et démontent des lieux de froid, de chaud et d’incroyables résistances et d’incroyables surprises.
Ils sont à point et en avance et refont le chemin du haut en bas, et en avance ils se griffent les bras. La peau est fraîche, le silence berce ces fils. Ils se posent dans l’eau profonde et glissent sur le dos et insinuent, les doigts, les mains, les ongles, la peau vive, dans l’eau plus chaude et sans saveur. Ils font un tour, une arabesque, une aventure sur le dos, le cœur offert, la bouche éclose et redemandent des faveurs, des coulées de lave, la bouche ouverte sur le temps, sur les épaules. Ils se lancent des sacs d’outils, de grands fracas, des perles fines, des pierres, des bijoux d’or et d’argent et ils inventent un commerce, un troc. Une sensation, de grand danger, de jour étrange, de silence, et de confusion, rien ne va droit, rien ne se range, les yeux au cœur vont en tournant sans dire droit, sans franchement se rapprocher, sans y penser, et sans rien dire, ils touchent la peau fraîche et le sanglot.
Leur ciel est bleu, tout bleu, si bleu, et tout enchante et tout bouge et ils reviennent dans leur saison, et ils ouvrent leurs miroirs, et ils ouvrent les fleurs fraîches, et ils admirent, la sensation de frais et de douceur et de subtil effleurement, sur la peau nue, si nue, et en attente et cherchant la caresse et la fraîcheur. Le feu les brûle et ils éteignent, et ils ouvrent les yeux au jour, la liberté est dans l’eau vive, dans les cailloux sous les pieds, dans l’air perdu, dans l’attente. La surprise est encore au détour, ils recommencent et imposent la jeune éternité, le retour. L’eau a coulé fraîche sur la peau, des choses simples, la chaleur, la fraîcheur, la peau, le désir et le ciel bleu, tout bleu, si bleu, et la peau chaude et fraîche et d’une jeunesse éternelle et complète et forte et bienveillante, et parfaite, il avance son doigt et sort de l’ombre et glisse sur la peau et glisse, glisse et un miracle.
Ils sont en nage et effleurent d’un doigt la peau et là, cesse l’intelligence, ils sont animaux et sincères et bien perdus et bien plus forts, les hommes sont perdus, les caresses affolent, les animaux hurlent et grognent et défigurent leurs visages, et tombent les catastrophes, l’air perdu, les visions, les songes et les illusions. Ils sont perdus de peau et de fraîcheur et de rose au bout du doigt.
Ils se portent des coups de griffe et de cailloux, les pierres volent et les complices se sacrifient. Un peu de bois et de silence, une prière au jardin et coule, coule l’eau sur la peau et le visage et chante la main blanche trop serrée au poignet. Ils sont aveugles et en partance, répandus sur le gravier et grand et forts, et gravement ils se redressent et chantent une prière lente, et sans baptême se griffent d’eau et de fureur.
Ils sont enfants du monde, du plus grand et du plus chargé des pères et des rois, ils remplissent un tombeau de couronnes, et d’arc et de flèches leur carquois. Ils grimpent vers le lieu du monde ou ils chanteront à genou et deux par deux feront offrande de raideur et de force. Sur tout, sur encore plus de visage, une gifle de volupté, ils se mélangent et recommencent et enchantent leurs libertés, ils offrent des paroles et démontent des lieux de froid, de chaud et d’incroyables résistances et d’incroyables surprises.
Ils sont à point et en avance et refont le chemin du haut en bas, et en avance ils se griffent les bras. La peau est fraîche, le silence berce ces fils. Ils se posent dans l’eau profonde et glissent sur le dos et insinuent, les doigts, les mains, les ongles, la peau vive, dans l’eau plus chaude et sans saveur. Ils font un tour, une arabesque, une aventure sur le dos, le cœur offert, la bouche éclose et redemandent des faveurs, des coulées de lave, la bouche ouverte sur le temps, sur les épaules. Ils se lancent des sacs d’outils, de grands fracas, des perles fines, des pierres, des bijoux d’or et d’argent et ils inventent un commerce, un troc. Une sensation, de grand danger, de jour étrange, de silence, et de confusion, rien ne va droit, rien ne se range, les yeux au cœur vont en tournant sans dire droit, sans franchement se rapprocher, sans y penser, et sans rien dire, ils touchent la peau fraîche et le sanglot.
Leur ciel est bleu, tout bleu, si bleu, et tout enchante et tout bouge et ils reviennent dans leur saison, et ils ouvrent leurs miroirs, et ils ouvrent les fleurs fraîches, et ils admirent, la sensation de frais et de douceur et de subtil effleurement, sur la peau nue, si nue, et en attente et cherchant la caresse et la fraîcheur. Le feu les brûle et ils éteignent, et ils ouvrent les yeux au jour, la liberté est dans l’eau vive, dans les cailloux sous les pieds, dans l’air perdu, dans l’attente. La surprise est encore au détour, ils recommencent et imposent la jeune éternité, le retour. L’eau a coulé fraîche sur la peau, des choses simples, la chaleur, la fraîcheur, la peau, le désir et le ciel bleu, tout bleu, si bleu, et la peau chaude et fraîche et d’une jeunesse éternelle et complète et forte et bienveillante, et parfaite, il avance son doigt et sort de l’ombre et glisse sur la peau et glisse, glisse et un miracle.
18 Juillet 2007.
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