mercredi 14 novembre 2018

Retour, le oiseaux tournent.

Le ciel s'ouvre, alors l'oiseau invite à le suivre. Il l'a reconnu, il en a reconnu le doux sourire. Dans un galop d'écume le passé se décompose, et se recompose en un avenir sans amertume. Là-bas, entre les bras de mer, sous le ciel d'eau, les oiseaux appellent.

Frémissement de l'onde gonflée d'avenir. La mer est tranquille poudrée de lumière, les oiseaux s'y baignent et parent leurs plumes d'un "plaisir neuf", d'un "plaisir clair".

Maria Dolores Cano, 14 novembre 2018 à 10:36

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